Tendres rêves et beau réveil (pv Léopold)

En se réveillant ce matin là, Maxine mit quelques secondes à se re-situer. Elle n’était pas dans la chambre qu’elle partageait avec Kate dans le duplex familial situé juste au dessus de la pâtisserie de sa tante mais dans dans une chambre qui à vue d’oeil paraissait mille fois plus luxueuse.
Mieux ou pire, c’était à voir, quelqu’un partageait son lit. Rectification, elle partageait le lit de quelqu’un puisqu’elle n’était pas chez elle.

Rassurons-nous cependant, la jeune femme n’était pas à un point où elle ne se souvenait plus de rien (ce qui ne lui était arrivée qu’une seule fois en 22 ans de vie). La veille au soir, elle avait dîner en compagnie d’un héritier De Rothschild qui se trouvait être accessoirement son patron et maitre de stage. Après une dispute avec Leopold, ce dernier lui avait proposé de se réconcilier autour d’un repas. Les choses en entrainant une autre et vu que depuis quatre mois ils avaient du mal à ne pas se sauter dessus, les deux amants s’étaient retrouver au lit (pour la première fois …) pour qu’au final, Maxine s’endorme dans les bras de son boss.

Dos à lui, la jolie étudiante se dégageant quelque peu afin de lui faire face. Elle le regarda quelques instants avant de poser ses lèvres sur les siennes. Elle ne voulait pas se poser de question sur le fait qu’elle était là à l’observer dormir alors que leur relation avait été défini de manière très clair et ce dès le début. Non, Maxine ne voulait se poser aucune question et quel meilleur moyen que de réveiller la source de tout ses questionnements ?

Elle lui donna donc un nouveau baiser tandis qu’un téléphone se rappelait à leur bon souvenir. Quittant à regret le lit tout en enfilant la chemise de Léo qui se trouvait au sol, elle farfouilla quelque peu avant de mettre la main sur l’objet maudit. Le portable en question n’était pas le sien mais celui de Léo et il affichait le merveilleux prénom de Louise.

Mettant de côté un sentiment étrange qui n’était certainement pas de la jalousie, elle se rapprocha à nouveau du lit et secoua quelque peu son patron.

-Léo ? Léo ? Ton téléphone sonne.

Comme chute brutale, il n’y avait pas mieux.

Léopold était perdu dans ses rêves, des images plaisantes occupaient son esprit, puis soudain tout devint noir, et déjà il ne se souvenait plus de ce à quoi il rêvait. Il entendit une voix, celle d'une jeune femme. Difficilement il ouvrit ses yeux, l'image était encore floue. Une sonnerie se faisait entendre, il la reconnut quelques instants après, c'était celle de son portable. Ses yeux s'ouvrirent en grand, Maxine apparut devant lui, debout, habillée d'une de ses chemises, elle lui tendait son portable. Il le prit dans sa main, regarda l'écran puis l'amena à son oreille. « Oui Louise ? » Il l'écoutait tout en se réveillant. « Venir chez moi ce matin ? Ah oui c'est vrai, on avait prévu ça. Ce ne sera pas possible aujourd'hui, j'ai beaucoup de choses à faire. » dit-il en se redressant pour s'adosser contre le montant du lit. « On fait comme ça, bonne journée Louise. Bisous. » répondit-il à son interlocutrice avant de raccrocher. Et à cet instant, alors que le portable était encore contre son oreille, il comprit une chose : il n'était pas tout seul… il le savait car elle lui avait passé le portable mais là il s'en rendait clairement compte, et ce n'était pas prévu au programme. Il se rappelait parfaitement la nuit dernière, elle était venue dîner et une nouvelle fois ils avaient terminés dans les bras l'un de l'autre dans son lit, et ils s'étaient sûrement endormis ensemble.

Il leva son regard et le posa sur son visage, à son étonnement la surprise se dissipa rapidement, la voir ainsi lui faisait plutôt plaisir. « Tu as bien dormi ? » lui demanda t-il en se disant que, malgré ces 4 mois passées à avoir des relations dans son bureau, c'était la première pour lui de se retrouver avec elle sans savoir ce qui allait réellement se passer. Dans son bureau quand ils se voyaient le midi, ils savaient très bien ce qu'ils allaient faire, la veille ils avaient dîné ensemble, mais ce fut assez bref car rapidement ils passèrent le reste de la soirée dans la chambre. « Je constate que tu as déjà trouvé une chemise pour remplacer la tienne… en tout cas elle te va bien, bien mieux qu'à moi. » dit-il d'un air amusé, se rappelant la scène d'hier quand il lui avait envoyé le contenu de sa tasse de café au visage, lui offrant une jolie grosse tâche sur sa chemise.

Il était bien installé dans son lit, il tapota quelques instants sur son portable puis il se pencha un peu pour le poser sur la table de nuit. Ensuite sa main libre vint se poser sur la cuisse de Maxine, il la lui caressait du bout des doigts. « Je n'ai pas le droit à un petit bisou ce matin ? » lui demanda t-il un sourire un brin charmeur dessiné sur les lèvres. Qu'est-ce qu'il était en train de faire ? Il n'allait quand même pas perdre son temps ? D'habitude il se serait déjà mis debout et lui aurait demandé ce qu'elle voulait pour le petit-déjeuner, afin qu'elle parte le plus rapidement possible pour pouvoir se mettre au travail, car le temps c'était de l'argent comme lui avait toujours dis son père, mais là il ne ressentait pas l'envie de travailler.

Assisse aux côté de Léopold, Maxine écouta la conversation d’une oreille, non pas qu’elle voulait espionner son patron, seulement c’était plutôt compliqué de ne rien écouter. Elle détourna quelque peu la tête, histoire de ne pas montrer les traits de son visage qui devaient surement trahir le fond de ses pensées. Elle esquissa un sourire en l’entendant annuler son rendez-vous. A dire vrai, s’il l’avait conservé, ce qui aurait exigé que Maxine se prépare sur le champ et qu’elle quitte l’appartement dans les plus bref délais, la jeune femme l’aurait certainement très mal pris. Mais puisque ce n’était pas le cas, elle chassa bien vite cet appel de sa tête.

-J’ai bien dormi oui, lui dit-elle avant de lui retourner la question.

Ça oui, elle avait bien dormi ! En même temps, tout ici respirait le luxe jusqu’aux draps de soie jusqu’au matelas qui donnait envie de rester coucher toute la journée. Elle avait beau ne pas faire partie de la classe ouvrière, elle était très loin du niveau de vie d’un De Rothschild.

-C’est pas drôle, lui dit-elle en le pinçant au niveau des côtes.

Même si la veille Léo l‘avait laissé partir plus tôt, afin d’éviter qu’on ne lui pose des questions et qu’elle ne s’affiche, la jeune femme avait eut le droit à quelques remarques notamment de la part de sa tante à qui elle avait emprunté la fameuse chemise et qui avait hurlé de terreur en voyant l’énorme tache de café.

Mais comme toujours, Léo s’en sortait avec un petit sourire charmeur et une demande de baiser. Poussant un soupir tout en secouant la tête, Maxine se rapprocha quelque peu afin de joindre ses lèvres aux siennes. Au départ, ce baiser devait juste servir de « bonjour » sauf que comme d’habitude, ils ne pouvaient s’arrêter qu’à ça, d’autant que Léo laissait sa main vagabonder sur sa cuisse.

-Tu devrais pas aller bosser ? demanda-t-elle dans un murmure se séparant quelques micros-secondes de ses lèvres avant de reprendre leur étreinte se moquant finalement de sa réponse.
Peu lui importait qu’il doive travailler ce matin ou qu’elle ait cours ce matin, Maxine voulait juste profiter de l’instant présent. Peut-être que Léopold voulait lui aussi profiter de ce moment car lorsqu’elle fit mine de vouloir s’installer à califourchon sur lui, il l’aida dans la manoeuvre.

Léopold ria quand Maxine vint lui pincer les côtes, d'une main il l'arrêta et lui dit. « Arrêtes ça. Je suis encore fatigué. Je n'ai pas très bien dormi cette nuit. Tu prenais toute la place. » Ce n'était pas vrai. Le lit était immense mais ils avaient passé la nuit collés l'un à l'autre, en fait ils auraient eu assez de place avec un lit d'une personne, alors que d'habitude il aimait avoir son espace pour dormir. Il fut satisfait de voir que son sourire avait toujours autant de succès auprès de la jeune femme. Il répondait avec plaisir à son baiser alors que sa main l'aida à venir se mettre à califourchon sur lui. « Je suis le patron. C'est moi qui décide quand je vais au travail ou non, tant que je suis disponible par téléphone, tout va bien. Et toi tu n'as pas cours ? Je ne voudrais pas être celui qui gâche les études d'une jolie étudiante. » dit-il d'un air amusé.

Ses yeux étaient plongés dans ceux de Maxine. Il la trouvait si belle, pas simplement jolie, il trouvait qu'elle avait quelque chose d'autre, quelque chose qui se dégageait d'elle, quelque chose qui le rendait complètement fou. Il savait très bien que personne ne lui reprocherait de ne pas aller au travail, mais il avait toujours mis un point d'honneur à y aller chaque jour pour montrer l'exemple à ses employés. Les fois où il n'était pas à son bureau, c'est parce qu'il avait des rendez-vous d'affaires, mais là ce n'était pas le cas. Il commençait à se rendre compte d'une chose, elle avait une certaine emprise sur lui. « Tu sais que tu es en train de me tuer... » lui dit-il alors qu'il lui caressait les cuisses du bout des doigts. Ses mains remontèrent lentement sur ses hanches, explorant sa peau douce en-dessous de sa chemise.

« Tu es magnifique... » lui dit-il alors qu'il l'attrapa par les hanches et la plaqua contre lui. Ses lèvres se collèrent de nouveau à celles de la jeune femme. Il l'embrassa passionnément, aspirant et mordillant légèrement sa lèvre inférieure. Ses mains lui caressaient le dos jusqu'à ses hanches alors que ses lèvres exploraient son cour, y déposant de multiples baisers. Son portable se remit à sonner, il grogna quelques instants et une de ses mains quitta le corps de Maxine pour attraper le portable sur sa table de nuit. Il le colla à son oreille. « Oui Brigitte ?… Mon rendez-vous de ce matin ? » Il s'en rappelait maintenant, il avait rendez-vous avec l'agent d'un célèbre écrivain pour essayer de le faire signer chez lui. C'était très important, il savait très bien qu'il ne pouvait pas s'y soustraire, il avait des obligations professionnelles. Il fit une grimace puis il posa les yeux sur Maxine, ses lèvres commencèrent à remuer mais aucun son ne sortit, finalement il arriva à parler. « Dîtes-lui que je suis malheureusement occupé ce matin, mais que pour m'excusez je l'invite ce midi à déjeuner dans le meilleur restaurant de la ville. Merci Brigitte ! » Il ne laissa pas le temps à la secrétaire de répondre qu'il avait raccroché et lancé son téléphone sur sa table de nuit. « Tu as vraiment une mauvaise influence sur moi... » dit-il alors que sa main rejoignit l'autre sous sa chemise, lui caressant le dos alors qu'il déposait un baiser sur son épaule.

-J’y peux rien si tu as ressenti le besoin de te coller à moi.

Bien sûr Maxine le charriait. Elle avait adoré qu’il soit à ses côtés toute la nuit mais en même temps, elle savait pertinemment que ce n’était pas une habitude à prendre. Il avait était clair après tout, n’est-ce pas ?

-Je crois que j’ai un cours de droit d’auteur, ça tombe bien j’aime pas le droit, lui dit-elle avant de recommencer à l’embrasser. A coup sûr elle risquait de regretter mais pour le moment, elle n’avait aucune envie de quitter ses bras. Et il avait beau faire comme s’il se préoccupait de ses études, Maxine n’était pas certaine que Léopold la lasserait partir.

En l’entendant dire qu’elle était en train de le tuer, Max ne put s’empêcher d’éclater de rire.

-J’ai pas eu l’impression que tu étais sur le point de mourir cette nuit, répondit-elle, taquine avant de l’embrasser tendrement. Leur étreinte, qui était devenu un peu plus passionné fut interrompu par le téléphone de Léopold. Cette fois, la jolie étudiante resta immobile, le souvenir de la veille était encore bien trop présent pour qu’elle tente de le divertir. Il n’y avait pas de café à porté de main mais des fois qu’il décide de la coucher sur le lit et qu’il l’étouffe avec un oreiller, autant ne pas jouer avec le feu.

En entendant le prénom de Brigitte, Maxine sut que leur bulle de félicité venait d’éclater. Si la secrétaire de Monsieur De Rothschild l’appelait c’était forcément pour quelque chose d’importance. En l’occurence là, de ce qu’elle venait de comprendre, Léo avait oublié un rendez-vous. Tant pis ! Elle irait en cours de droit !

Ou peut-être pas…

En lui jetant un regard, Léo sembla renoncer à l’idée d’aller travailler ou peut-être n’avait jamais eu l’envie de quitter ce lit. Bref, Maxine lui offrit son plus beau sourire. Ce dernier s’élargit un peu plus lorsque Léopold l’accusa d’avoir une mauvaise influence sur lui.

-Qu’est ce que je devrais dire ? lui demanda-t-elle tandis qu’il lui caressait le dos tout e posant un baiser un baisé sur son épaule.

Passant ses mains dans les boucles noirs de son amant, elle le ramena à ses lèvres, le mordillant quelque peut. Comme toujours elle avait envie de lui et c’était d’autant plus compliqué de ne pas aller dans ce sens alors qu’elle était à califourchon sur lui, juste vêtue de sa chemise tandis que lui-même était dans son plus simple appareil.

-Donc, tu ne vas pas travailler, je ne vais pas en cours… T’as une idée de ce qu’on pourrait faire pour passer le temps ? demanda-t-elle en posant un baiser dans son cou. J’ai bien ne idée mais vu que t’es pas très endurant, j'ai peur de te tuer …

Maxine lui fit son plus beau sourire, celui-ci était magnifique, c'était la première chose qu'il avait remarqué chez elle quand la directrice des ressources humaines la lui avait présentée. Avec ce sourire, Léopold ne pouvait rien lui refuser, elle le faisait céder à chaque fois avec celui-ci… il se sentait démuni à chaque fois qu'il y faisait face, et c'était très rare chez lui de ressentir un tel sentiment face à une femme, ou même face à un homme, par exemple lors de négociations. Elle arrivait à lui faire transgresser ses règles sans même le forcer, juste en le regardant et en lui offrant un sourire. « Je suis un patron respectable, mon influence ne peut que être bonne... » lui dit-il avant de l'embrasser brièvement alors qu'elle vint lui mordiller la lèvre. Ils étaient rentrés en plein dans leur petit jeu, et à partir de là rien, ni personne, ne pouvait les détourner de leurs envies. Ils n'avaient jamais réussis à calmer ces derniers, ou peut-être prenaient-ils trop de plaisir à y céder ?

Léopold ria en entendant la pique lancée à son encontre par Maxine. Certains hommes n'aimaient pas qu'une femme ait du caractère et de la répartie, pour lui c'était deux traits de caractères essentiels, et sa stagiaire les possédait. « Je n'ai aucune idée de ce que l'on pourrait faire. Je ne sais pas pourquoi, mais là tout de suite j'ai quelques difficultés à me concentrer pour réfléchir… j'ai un peu l'esprit occupé... » dit-il amusé avant de l'embrasser de nouveau avec fougue. Il savourait la pression de ses lèvres contre les siennes, et de son corps contre le sien. A chaque fois que sa bouchait se collait à celle de Maxine, il avait l'impression qu'une vague de chaleur se répandait à travers tout son corps. C'était une sensation inédite pour lui, elle était la seule avec laquelle il ressentait ça. Il n'y comprenait rien, et à cet instant son désir était tellement fort qu'il n'avait pas envie de chercher à comprendre la raison de tout ça.

Sans la prévenir Léopold la fit rouler sur le dos alors que sa bouche était encore collée aux lèvres de Maxine, puis il rompit le baiser et lui mordilla le lobe de l'oreille avant de lui demander. « Alors quelle est ton idée ?... Si elle me plaît je suis prêt à faire des efforts pour palier mes problèmes d'endurance… » Dès qu'il termina de parler il déposa une série de baisers dans le cou de la jeune femme alors que ses mains défaisaient les quelques boutons de la chemise. De profil il écarta délicatement les pans de la chemise, découvrant une nouvelle fois la poitrine de la jeune femme.  « Après si tu souhaites trouver quelqu'un d'autre de plus endurant, je respecterai ton choix... » lui dit -il alors que son index glissait sur sa peau douce. Il suivait les courbes de ses seins dont il effleurait volontairement les pointes.

L’esprit occupé. En l’entendant Maxine laissa échapper un petit rire. Pas qu’elle était fière d’elle mais il fallait avouer que la plus part du temps, il suffisait d’un rien pour que Léopold est, en sa présence, l’esprit occupé. Oui, bon, ok elle était fière d’elle mais en même temps c’était plutôt flatteur d’avoir un tel effet sur un homme comme lui, immensément riche, surement l’un des parties les plus convoités au monde, intelligent et sexy. Mais tout ça bien sûr, la jolie étudiante préférait le garder pour elle. Elle ne voulait en aucun cas qu’il croit qu’elle en ait après son porte-monnaie ou pire qu’il se dise que peut-être, elle voulait plus.

Car tout entre eux n’était que physique et Maxine comptait bien en profiter, répondant aux baisers de son amant avec une passion non feinte.
Lorsque Léo la bascula en arrière, elle suivit le mouvement et se retrouva couché sous lui. Les lèvres de ce dernier quittèrent les siennes pour la mordiller délicieusement avant de lui demander d’expliciter un peu plus ce qu’elle avait en tête. Elle aurait bien aimé lui répondre mais Léopold repartit à la découverte de son corps, s’attaquant à son cou qu’il  dévora littéralement, tout en prenant soin de lui retirer les deux ou trois boutons qui maintenait la chemise sur son corps nu. Autant dire que oui, elle aussi, elle avait l’esprit occupé mais pas assez pour l’empêcher d’être taquine avec son boss.

-Sauf si tu caches quelqu’un dans ton placard, je crois que je vais devoir me contenter de toi, lui dit-elle un brin moqueur.

C’était quelque peu risqué des fois qu’il se refuse à lui donner ce qu’ils semblaient désirer tout les deux. Le ramenant à ses lèvres, Maxine recommença à l’embrasser avant d’y mettre fin quelques instants plus tard. Elle se redressa quelque peu, entrainant Léo avec elle. Puisqu’il faisait mine de ne pas comprendre ce qu’elle attendait, elle pouvait lui expliquer ou tout du moins lui montrer de manière fort agréable pour lui.

-Puisqu’il te faut un dessin… dit-elle en prenant le dessus sur lui, renversant les rôles.