Clover Diamandis - Life is worth living

- Comment te sens tu, Clover?

- Mieux.

Et c'était vrai. Enfin, en partie. Elle se sentait bien mieux qu'il y a six semaines, alors qu'elle avait essayé de mettre fin à ses jours. Mais il y avait toujours se vide en elle. Comme si une partie d'elle c'était détacher à jamais, lors de la mort de sa mère.

- Tu ne recommenceras pas, si on te renvoie chez toi?

Elle ne comprenait pas pourquoi son psychologue lui possait ce genre de questions, elle pourrait très bien mentir. Elle dirait qu'elle se sentait parfaitement mieux et promettrais de ne plus jamais recommencer. Elle serait libre en moins de deux! Le soir, quand personne ne sera chez elle, elle n'aura qu'à recommencer. Peut-être même qu'elle réussira cette fois.

- Jamais.

Mais elle n'en avait pas envie. En passant aussi près de la mort, on réalise à quel point la vie est précieuse. En passant six semaines à l'hôpital, elle avait repris goût à la vie. Elle voulait seulement rentrer chez elle et passer du temps avec ces cinq frères et soeurs. Elle voulait se réconcilier avec son père et sa belle-mère. Clover voulait remettre l'ordre qu'elle avait perdu dans sa vie. Elle ne regrettait pas le geste qu'elle avait commis, car il lui avait fait comprendre à quel point elle était chanceuse d'être toujours en vie.


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- Tu vas te marier? C'est une blague j'espère?

Son père soupira. Il n'avait pas eu le coeur de lui annoncer à l'hôpital. Voir sa première fille, sa princesse, blanche comme un drap dans un lit d'hôpital, lui a complètement brisé le coeur. Non, plutôt déchirer en mille morceaux. Il en avait complètement oublié la haine que sa fille avait envers sa future épouse.

- Ma chérie, s'il te plaît calme toi.

Comment pouvait-il lui faire ça! Se remarier seulement deux ans après la mort de sa mère, c'était de la folie! Comme s'il avait oublié l'amour qu'il portait à sa mère. Clover ne voulait pas d'une belle-mère, et surtout pas de cette belle-mère. Elle avait l'intention de se réconcilier avec elle, mais cette idée est disparue de sa tête au moment où son père lui a annoncé son futur mariage

- C'est moi, ou ta femme. Tu choisis.

Elle croisa ses bras sur son torse. Malgré tout ce qu'elle pouvait se dire, elle savait qu'elle était égoïste. Très égoïste, même. Mais elle ne pouvait pas vivre dans la même maison que cette femme, elle allait craquer. Elle ne savait pas que le choix de son père ne serait pas celui qu'elle attendait.

- Je suis désolé, Clover, tellement désolé...


Synephebos ego, inquit, potius Caecilii aut Andriam Terentii quam utramque Menandri legam? A quibus tantum dissentio, ut, cum Sophocles vel optime scripserit Electram, tamen male conversam Atilii mihi legendam putem, de quo Lucilius:'ferreum scriptorem', verum, opinor, scriptorem tamen, ut legendus sit. rudem enim esse omnino in nostris poetis aut inertissimae segnitiae estaut fastidii delicatissimi. mihi quidem nulli satis eruditi videntur, quibus nostra ignota sunt.Synephebos ego, inquit, potius Caecilii aut Andriam Terentii quam utramque Menandri legam?  

Synephebos ego, inquit, potius Caecilii aut Andriam Terentii quam utramque Menandri legam? A quibus tantum dissentio, ut, cum Sophocles vel optime scripserit Electram, tamen male conversam Atilii mihi legendam putem, de quo Lucilius:'ferreum scriptorem', verum, opinor, scriptorem tamen, ut legendus sit. rudem enim esse omnino in nostris poetis aut inertissimae segnitiae estaut fastidii delicatissimi. mihi quidem nulli satis eruditi videntur, quibus nostra ignota sunt.Synephebos ego, inquit, potius Caecilii aut Andriam Terentii quam utramque Menandri legam?